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L’histoire de l’atelier de fabrication de marionnettes liégeoises.

centre de la marionnette liégeoise de Saint-Nicolas, José Maquet  fondateur

C’est en 1981 que José Maquet créa l’atelier de marionnettes à Villers aux Tours, à l’occasion du tricentenaire du château, atelier qui devient par la suite principalement « Centre Européen de la Marionnette » puis « Centre de la Marionnette de Saint-Nicolas ».

Cet atelier, implanté aujourd’hui à Saint-Nicolas, rue Buraufosse 111, depuis 1991, était très largement fréquenté par les amoureux de la sculpture sur bois et du « Monde merveilleux des Marionnettes ». Denis Fauconier du Théâtre à Denis et Raphaël Defays du Théâtre de Mabotte y étaient fidèles ainsi que bien d’autres. La sculpture mais aussi la peinture le montage et l’habillage étaient au programme. La création de marionnettes à gaine aussi bien qu’à fils y était enseignée mais principalement la réalisation de marionnettes à tringle dans la plus pure tradition liégeoise.

L’atelier a fait le bonheur de ses adhérents jusqu’en 2007 année choisie par José Maquet pour créer, chez lui, son école de montreurs et d’artisanat de la marionnette. Et il passa la main à Madame Marie-José Delperdange  et son époux Jean Hambucken qui vont apporter à l’atelier une autre approche de la sculpture et d’autres techniques. Ils devront se retirer en 2014 pour des raisons de santé et après une période hésitante, c’est en 2015 que, sous la Présidence de Jean-François Henkinet, une équipe motivée va lancer la métamorphose du centre. L’atelier va changer de locaux, où et avec la participation sans limite des membres, ils vont être magnifiés. C’est en 2017 que, vu l’essor, il prendra le statut d’A.S.B.L. qu’il a actuellement.

centre de la marionnette liégeoise de Saint-Nicolas, Jean François Henkinet, le rénovateur

Sous la présidence de Jean François HENKINET puis de Philippe GILLET, l’atelier va vivre une profonde mutation avec

  • Une remise à niveau des nouveaux locaux
  • Une ré-écriture d’une méthodologie de fabrication
  • Une remise en état des outils
  • Une ré-organisation de l’atelier (deux journées)
  • Une mise à disposition de documents sous format digitalisé
  • Une mise en place d’une structure de management et un dépôt des statuts d’une ASBL
  • Une multitude d’activités prestées
  • L’espoir prochain de l’engagement d’un formateur professionnel